Rien ne peut nous separer de l'amour de Dieu manifeste en Jesus CHRIST son fils qui a pris tous nos peches en mourant a la croix d'une mort horible.
   
  L'Amour de Dieu
  2 ème Trimestre 2008
 
Octobre 2007 An Ka Ta « Allons-y » La rentrée des classes au titre de l’année académique 2007/2008, initialement fixée au 17 Septembre n’a finalement pas eu lieu à cette date. Avec les fortes pluies tropicales qui se sont abattues sur le pays en Juillet et Août, plusieurs concessions se sont effondrées. Leurs populations ainsi délogées ont été « recasées » dans les écoles, le temps que les conditions atmosphériques se montrent plus clémentes. Voilà qui est fait : le ciel incertain s’est largement éclairci, rendant du coup possible la rétrocession des classes à leurs vrais locataires. Alors, le 02 octobre, enseignants, élèves et parents d’élèves ont repris le chemin de l’école… Pour nous, au Collège Privé Samuel, tout s’est bien passé par la grâce de Dieu. Nous avions pensé qu’avec le relèvement des frais de scolarité, il y aurait de nombreuses défections. Rien n’y fit : l’affluence à été grande nous poussant même à dépasser quelque peu les effectifs de 40 élèves par classe que nous nous étions imposés au départ. Ainsi à ce jour, le nombre d’élèves qui fréquentent notre école est de 470 toutes sections confondues. Certes l’ombre du grand absent a hanté toute la journée. S’il avait été présent, il aurait improvisé un piédestal d’où nous aurions souhaité la bienvenue à nos hôtes. S’il avait été parmi nous, il nous aurait mis à l’aise en installant le matériel de sonorisation. Ouf !, si Charles, puisque c’est de lui qu’il s’agit ; si Charles avait été au milieu de nous, sa voix porteuse aurait tonné pour rappeler à l’ordre les quelques étourdis du troupeau ! Mais notre frère Charles Mageshi TUDIENU s’en était allé le 11 Juillet avant la rentrée des classes au printemps de l’âge et de la façon la plus inattendue ! Nous n’allons pas nous complaindre en jérémiades excessives : il n’était pas homme à se lamenter. Son leitmotiv favori, la seule expression qu’il ait adoptée du bambara malien était : « An ka ta » « Allons-y ». Oui allons y. Car il y’a un temps pour tout sur cette terre des hommes. Alors qu’il fait jour, « il nous faut travailler aux œuvres de notre Père Céleste. La nuit vient où on ne peut travailler ». Ne nous laissons pas surprendre par cette nuit. Elle arrive de manière furtive. Et c’est ce que Charles semble nous laisser comme message. Pour le Collège Privé Samuel Noé KAMATE : Merci de bien vouloir noter notre nouvelle adresse email ci-dessous :
 
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